Edith GANGBEDJI : « J’ai soutenu sur le thème ‘’Analyse de la chaîne de valeurs ajoutée des aliments de volailles au Bénin’’. Je suis soulagée d’être à cette étape. C’est un thème d’actualité. J’aimerais approfondir ce thème car si nous voulons promouvoir l’aviculture dans nos pays, nous devons chercher à maîtriser les différentes étapes de la filière ». | ||
Ali KOLANI : « J’ai travaillé sur ‘’Effet de l’incorporation de l’huile de palme sur les performances de ponte et sériques des poules pondeuses’’. C’est un réel plaisir d’avoir fini ce master. Et j’aimerais, par la suite, travailler sur la modélisation de la production des œufs au Togo ». | ||
Martine GANDJETO : « J’ai soutenu sur le thème ‘’Evaluation des propriétés enzymatiques des termites utilisés en alimentation des poulets de chair au Bénin’’. Ça a été une expérience riche en découvertes. Je compte bien m’installer en créant une usine de fabrication d’aliment de volaille ». | ||
Abidi BILALISSI : « Ma soutenance a porté sur ‘’Etude du meilleur moment pour l’inoculation in ovo d’un extrait hydro-alcoolique des feuilles moringa dans les œufs à couver des reproducteurs chair’’. La soutenance s’est bien passée et je suis très heureux. Avoir une note de 18 sur 20, ce n’était pas évident. Ceci me donne une ouverture sur la thèse si le CERSA m’en donne l’occasion ». | ||
Michel OROUNLADJI, Etudiant au CERSA : « Je suis trop fier de la formation au CERSA. Mon thème de recherche c’est ‘’Effet de la chaleur sur les performances bioéconomiques des pintades (Numida meleagris) locales au Bénin’’ J’en profite pour remercier le CERSA et la Banque mondiale pour le financement sans oublier le Laboratoire de Zoo économie dans lequel j’ai travaillé à l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin dans le cadre de mes travaux. Comme perspective, je compte poursuivre mes travaux en année de thèse. » | ||
Prof. Komlan BATAWILA, 1er vice-Président de l’Université de Lomé : « Je crois que c’est une très bonne chose. Le CERSA à travers ces premières soutenances est sur la bonne voie. A travers des documents qui sont produits et à travers la qualité des étudiants qui sont formé au CERSA. C’est une chose à encourager car le CERSA est sur la bonne voie ; ça s’inscrit dans le cadre de la sécurité alimentaire. Nous sommes tous demandeurs en protéines animales et puisque ces documents (mémoires) portent sur la recherche, et que ces travaux peuvent déboucher sur l’amélioration de la production animale, c’est une bonne chose ». | ||