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DEVANT LE COVID-19, L’UNIVERSITÉ DE LOMÉ EXPRIME SA SOLIDARITÉ À SES ÉTUDIANTS CONFINÉS EN CITÉ UNIVERSITAIRE

DEVANT LE COVID-19, L’UNIVERSITÉ DE LOMÉ EXPRIME SA SOLIDARITÉ À SES ÉTUDIANTS CONFINÉS EN CITÉ UNIVERSITAIRE

En temps de crise ou de guerre, solution de crise ou de guerre. L’Université de Lomé en apporte la preuve, dans le cadre de la crise sanitaire du COVID-19, par une assistance temporaire, au profit de ses étudiants restés en cité universitaire.

Après la fermeture de l’Université de Lomé, certains étudiants ont été exceptionnellement autorisés, eu égard à leur situation de vulnérabilité et, au nom de la solidarité humaine, à rester en cité U, à condition d’observer les mesures-barrières et d’être soumis au principe de confinement total. Il s’agit de 60 étudiants togolais et 85 étudiants étrangers provenant du Bénin, du Burkina Faso, du Burundi, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de la Guinée, de la Guinée Équatoriale, du Mali, du Niger, du Nigéria et du Sénégal.

 

Pour accompagner ces étudiants en situation de confinement, l’Université de Lomé a décidé de :

  • - leur offrir deux repas par jour au restaurant universitaire Richman Logos jusqu’au 2 avril 2020 ;
  • - leur distribuer des vivres acquis auprès de l’Agence nationale de la sécurité alimentaire du Togo (ANSAT) ;
  • - mobiliser à leur profit, certains produits du Centre d'excellence régional sur les sciences aviaires (CERSA) de l’Université de Lomé ;
  • - mettre à leur disposition le Centre médico-social (CMS) du Centre des œuvres universitaires de Lomé (COUL) ;
  • - instituer à leur profit, une permanence opérationnelle des agents de sécurité ;
  • - mettre en place, avec l’appui du CERSA, un dispositif de lavage de mains.
    Cette chaîne d’humanité et de solidarité doit être maintenue et entretenue. Se référant à Françoise Dolto, qui observait à juste titre, « Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l'entraide et la solidarité visant un but commun : l'épanouissement de chacun dans le respect des différences », le COUL invite dès lors les bonnes volontés, membres ou non de la communauté universitaire, souhaitant manifester leur solidarité vis-à-vis de ces résidents à contacter le 90 97 55 17.

Fraternité- Solidarité- Université.

(Source : https://www.univ-lome.tg)

 

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  • Yagla Baréléma, Elève-avicultrice Pour l’heure je n’ai pas beaucoup d’argent pour commencer véritablement mais cette formation qui est le fruit du partenariat entre le CERSA et le Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes, j’ai la ferme conviction que tout ira bien puisque j’ai la volonté de pratiquer l’aviculture.
    Yagla Baréléma, Elève-avicultrice

  • N’NANLE Oumbortime, doctorant togolais en Sciences Aviaires Etudier au CERSA, c’est l’assurance d’un appui financier pour publier nos travaux de recherches dans des journaux scientifiques de renom. En outre, l’excellence visée par le centre représente un gage d’insertion professionnelle rapide.
    N’NANLE Oumbortime, doctorant togolais en Sciences Aviaires

  • NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires Avec le CERSA, j’ai acquis de grandes connaissances, et développé des compétences dans le domaine des Sciences Aviaires notamment pendant la réalisation des recherches au sein du laboratoire des Sciences Aviaires du CERSA de l’Université de Lomé.
    NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires

  • Ali KOLANI « J’ai travaillé sur ‘’Effet de l’incorporation de l’huile de palme sur les performances de ponte et sériques des poules pondeuses’’. C’est un réel plaisir d’avoir fini ce master. Et j’aimerais, par la suite, travailler sur la modélisation de la production des œufs au Togo ».
    Ali KOLANI

  • Florence Missodé, Elève-avicultrice  (2016) J’ai une petite parcelle que je peux exploiter et j’ai un peu de moyens financiers aussi. Avec cette formation du CERSA, je pense avoir les moyens de devenir une bonne avicultrice.
    Florence Missodé, Elève-avicultrice (2016)

  • NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires Toutes ces expérimentations que j’ai réalisées au Laboratoire des Sciences Aviaires m'ont permis d'avoir une expérience professionnelle probante, et m'ont conforté dans mon projet de devenir chercheur en Sciences Aviaires.
    NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires

  • Edith GANGBEDJI « J’ai soutenu sur le thème ‘’Analyse de la chaîne de valeurs ajoutée des aliments de volailles au Bénin’’. Je suis soulagée d’être à cette étape. C’est un thème d’actualité. J’aimerais approfondir ce thème car si nous voulons promouvoir l’aviculture dans nos pays, nous devons chercher à maîtriser les différentes étapes de la filière ».
    Edith GANGBEDJI

  • Pyalo Tchoou, Elève-avicultrice (2016) J’avais de petites notions sur les poules pondeuses que je veux élever mais avec cette formation modulaire avec différents cours tels que la gestion et le suivi des poules pondeuses et coquelets que nous a donnée le CRSA, je me sens prête pour mener à bien mes activités
    Pyalo Tchoou, Elève-avicultrice (2016)

  • Amedzrovi Ablamvi, Elève-aviculteur (2016) La formation prodiguée par le CERSA m’a donné l’opportunité de renforcer mes connaissances et compétences en matière d’aviculture
    Amedzrovi Ablamvi, Elève-aviculteur (2016)

  • NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires Je suis convaincu de pouvoir participer efficacement à la fructification de la recherche dans ce domaine au Togo, au Tchad mon pays d’origine ou partout en Afrique, avec mon dynamisme et mes atouts techniques acquis au CERSA.
    NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires

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