Lomé, le 20 mai 2021 - Le concours « Ma thèse en 180 secondes », est un concours international de pays francophones. Dans le principe, ce concours permet à des doctorants de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire profane et diversifié. Chaque participant doit faire, en trois minutes, un exposé clair, concis convaincant sur son projet de recherche. Un appel est lancé, chaque doctorant peut participer et présenter sa thèse en 180 secondes.
C’est dans ce cadre, que M. BILALISSI Abidi, Doctorant en 3ème année de thèse au CERSA a remporté le 1er prix lors de la phase des préliminaires pour le compte de l’Université de Lomé ; ce qui lui donne son billet pour la phase nationale. Les lauréats ainsi sélectionnés représenteront leur université à la finale nationale qui se tiendra le 15 juin 2021 à l’institut Français.
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Abidi Bilalissi lors de sa prestation « Je suis content d'avoir été sélectionné pour la suite de la compétition mais en même temps je suis un peu stressé de ce que je dois m'améliorer pour garder la même place à la finale nationale. C'est en fait un sentiment mitigé dans la mesure où le plus dur ce n'est pas d'arriver au sommet mais le plus dur c'est de pouvoir se maintenir », a déclaré M. Bilalissi. |
Le doctorant a présenté sur la thématique intitulée (ou le sujet de thèse de M. BILALISSI porte sur): « Impact de l’augmentation de la concentration du dioxyde de carbone dans l’incubateur par le système de la non ventilation sur le développement embryonnaire, la physiologie et les performances post-éclosion des poules ».
Au total 16 doctorants sur 22 sélectionnés ont participé à cette première phase. Les candidats viennent de plusieurs établissements participants : Faculté des sciences, Ecole Supérieure d’Agronomie, Institut National des Sciences de l’Education (Psychologie), Géographie..etc.
Trois universités sont concernées : Université de Lomé, Université de Kara et l’IRES-RDEC
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Le public…
Pour le principe, chaque université fait une présélection pour retenir les candidats pour la finale nationale qui se déroulera le 15 juin. A l’issue de la phase nationale, trois doctorants seront sélectionnés pour la phase internationale qui se déroulera à l’Université de Bordeaux.
Pour la suite, « j'ai un peu la pression, parce que je veux maintenir cette place aussi bien pour la finale nationale que la finale internationale ; donc je me dois de travailler davantage et encore plus », s’est confié Bilalissi le candidat du CERSA.
Le candidat Bilalissi a saisi l’occasion pour remercier tous ceux qui l’ont encouragé à participer à ce concours.
Fernand TONA
Accédez au portail du Mécanisme de Gestion des Requêtes et des Plaintes (MGRP) de l'AUA.
« J’ai soutenu sur le thème ‘’Analyse de la chaîne de valeurs ajoutée des aliments de volailles au Bénin’’. Je suis soulagée d’être à cette étape. C’est un thème d’actualité. J’aimerais approfondir ce thème car si nous voulons promouvoir l’aviculture dans nos pays, nous devons chercher à maîtriser les différentes étapes de la filière ».
Edith GANGBEDJI
« J’ai soutenu sur le thème ‘’Evaluation des propriétés enzymatiques des termites utilisés en alimentation des poulets de chair au Bénin’’. Ça a été une expérience riche en découvertes. Je compte bien m’installer en créant une usine de fabrication d’aliment de volaille ».
Martine GANDJETO
Pour l’heure je n’ai pas beaucoup d’argent pour commencer véritablement mais cette formation qui est le fruit du partenariat entre le CERSA et le Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes, j’ai la ferme conviction que tout ira bien puisque j’ai la volonté de pratiquer l’aviculture.
Yagla Baréléma, Elève-avicultrice
Toutes ces expérimentations que j’ai réalisées au Laboratoire des Sciences Aviaires m'ont permis d'avoir une expérience professionnelle probante, et m'ont conforté dans mon projet de devenir chercheur en Sciences Aviaires.
NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires
La formation prodiguée par le CERSA m’a donné l’opportunité de renforcer mes connaissances et compétences en matière d’aviculture
Amedzrovi Ablamvi, Elève-aviculteur (2016)
Etudier au CERSA, c’est l’assurance d’un appui financier pour publier nos travaux de recherches dans des journaux scientifiques de renom. En outre, l’excellence visée par le centre représente un gage d’insertion professionnelle rapide.
N’NANLE Oumbortime, doctorant togolais en Sciences Aviaires
J’ai une petite parcelle que je peux exploiter et j’ai un peu de moyens financiers aussi. Avec cette formation du CERSA, je pense avoir les moyens de devenir une bonne avicultrice.
Florence Missodé, Elève-avicultrice (2016)
La dimension régionale matérialisée par la sélection d’étudiants anglophones est une chance pour nous francophones d’améliorer significativement notre niveau en anglais scientifique.
N’NANLE Oumbortime, doctorant togolais en Sciences Aviaires
Avec le CERSA, j’ai acquis de grandes connaissances, et développé des compétences dans le domaine des Sciences Aviaires notamment pendant la réalisation des recherches au sein du laboratoire des Sciences Aviaires du CERSA de l’Université de Lomé.
NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires
Je suis convaincu de pouvoir participer efficacement à la fructification de la recherche dans ce domaine au Togo, au Tchad mon pays d’origine ou partout en Afrique, avec mon dynamisme et mes atouts techniques acquis au CERSA.
NIDEOU DASSIDI, doctorant tchadien en Sciences Aviaires
